État : | Neuf avec étiquettes: Objet neuf, jamais porté, vendu dans l'emballage d'origine (comme la boîte ou la pochette ... En savoir plussur l'état | Marca: | Atos Lombardini |
MPN: | P06055 |
furu ike ya Un vieil étang kaeru tobikomu Une grenouille qui plonge, 水の音 mizu no oto Le bruit de l'eau. L'expectoration est au dégueulis ce que le haïku est au patin à roulettes Don Delillo ( Joueurs...
Plaisir de se sentir presque chez soi et de pouvoir parler français ! Nous nous garons sur le parking du poste de contrôle et remercions nos remorqueurs qui ne sont pas autorisés à nous emmener jusqu'à la première agglomération, Saint Georges de l'Oyapock,...
Mardi 27 février : Encore de la musique mais à un niveau sonore moindre. Après notre petit déjeuner avec un thé tiède, nous retournons dans la ville historique en suivant le bord de mer. Longue et belle plage avec restaurants et bars sous des paillotes...
Mercredi 7 février : Nuit calme jusqu'à ce que les camions commencent à faire chauffer les moteurs. Après Barreiras les cultures disparaissent, le cerrado reverdit grâce aux pluies et reprend possession du paysage avec sa végétation d'arbustes et de petits...
Lundi 29 janvier : A six heures du matin, un militaire, très gentiment, vient nous intimer l'ordre de déguerpir du parking réservé au personnel de l'école militaire. Nous retournons donc nous garer le long de la plage. Je voulais me doucher aux installations...
TRANSAMERICA “ Nous autres restons des voyageurs, enfermés dans le soi, susceptibles, qui sait, de se transformer eux-mêmes au contact de l’altérité, mais certainement pas d’en faire l’expérience profonde. Nous sommes des espions, nous avons le contact...
Mardi 11 juillet : Nous sommes réveillés par les agaceries de perroquets dans les arbres. Nous quittons tardivement le balneario et passons à la poste envoyer les cartes postales. L’interoceanica file dans l’immuable savane. Peu de ranchs d’élevage mais...
Mercredi 5 juillet : Une bonne nuit malgré les camions qui se sont garés dans la nuit. Nous nous réveillons même un peu tard au vu des kilomètres que nous avons à faire si nous voulons être à Cuzco demain. Nous abandonnons les Français qui viennent de...
Mardi 16 mai : Evidemment mal dormi. Bien entendu au réveil, le moteur ne démarre pas plus. J’abandonne Marie et vais demander à la police de m’indiquer un mécanicien. Il n’y en a pas à Chavinillo. Il faut se rendre au village suivant, à cinq kilomètres...
Jeudi 4 mai : Nous ne nous étions pas aperçus hier soir en nous garant que nous étions à côté d’une grande scie circulaire. A sept heures des ouvriers viennent couper des poutres de bois. Nous devons nous déplacer pour être plus au calme. Nous repartons...